Un enfant de moins de 16 ans récidiviste doit jusqu'a sa majorité faire l'objet d'un suivie et d'un encadrement.
Je propose donc que, quelque soit ses méfaits, si il y a récidive, cet enfant soit placé dans un centre géré par des instructeurs militaires et des professeurs public. Ce seront des écoles d'apprentissages où la discipline sera géré par des militaires. Chaque enfant devra en sortir avec un diplôme ou un assurance d'une réintégration dans un cycle scolaire normal. Un apprentissage en entreprise sera en complément de la formation. Les enfants à partir de 12 ans pourront y être intégrer en pensionnat. Les centres seront réparties dans toutes la France par niveau de classe et age. Les visites de la famille, les week end ainsi que les vacances seront autorisés si le comportement de l'élève le mérite. L'age de 21 ans est le maximum pour l'intégration dans ces centres. pour les enfants n'ayant pas quittés le centre avant 18 ans, un intégration possibles dans l'armée ou dans une école militaire leur sera proposé.
Tous le temps hors cours ou entreprise sera géré par des instructeurs militaires. La discipline devra y être aussi stricte que dans une caserne.
Pendant tous ce temps, toutes les allocations concernant cet enfant seront suspendus et cet enfant ne devra en aucun cas apparaitre dans le compte des aides. De plus, suivant les revenues des parents, un aide financière sera demandé.
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Et la délinquance en col blanc ?
Une justice parallèle II (Vidéo)
Deuxième partie d'une justice parallèle. Vous y retrouverez les témoins du premier film et leurs déboires avec des pistes qui démontrent comment les réseaux d’influences fonctionnent au cœur de la justice. Cela caractérise un Etat de non droit suite à l’incompétence du Ministère de la justice inerte aux doléances et spoliations organisées des justiciables.
La vidéo ici : http://video.google.fr/videoplay?docid=-5943204821258937486
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